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Le scandal Burberry

Une destruction de textiles et cosmétiques évaluée à plus de 30 millions d’euros !

Quelles solutions sont envisageables ?

Crédits photo : Wkimedia Commons

Le sujet n’est pas nouveau. Les marques de luxe ont recours depuis de nombreuses années aux pratiques les plus polluantes. Ces dernières s’avèrent ne pas être en baisse malgré une réelle nécessité de prise de conscience et de préserver l’environnement, un défi qui se doit d’être collectif.

Le phénomène ne touche pas uniquement le domaine du luxe, mais tous les adeptes de la fast fashion. L'an dernier c’est H&M sur qui les regards se sont posés, soupçonnée d’avoir brulé des invendus.

La fin de saison justifie t-elle réellement de telles actions ?

D'autant plus que ces marques se sont pour la plupart engagées dans l’établissement d’une économie circulaire, programme initié par Ellen MacArthur au travers de sa fondation.

Tiennent-elles réellement parole ? Peut-on affirmer que, bien qu’elle y soit engagée, Burberry parson action démontre le contraire?

N’y avait-il pas d’alternative à ce choix? La marque à carreaux se défend de « ne pouvoir se permettre de casser ses prix, afin de ne pas nuire à son image de marque forgée autour du luxe ». Ça peut se comprendre qu’elle ne veuille pas, pour des raisons stratégiques qui lui sont propres, se retrouver dans les rayon d´un Outlet, mais alors pourquoi ne pas se baser sur des statistiques de vente annuelle pour produire moins ?

Pourquoi ne pas simplement donner l’opportunité à ses employés d’accéder à ces sur-productions en leur proposant des ventes exclusives à prix réduits comme le fait Givenchy?


Et vous, chers consommateurs, qu’auriez vous fait à leur place ?

Je vous propose d’échanger sur les avantages et inconvénients des solutions que vous proposez.

Il est temps de faire entendre la voix des consommateurs.

Il n’y a que nous, collectivement, qui pouvons avoir une incidence sur les pratiques de la fast fashion.

To be continued ...


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